Et si vous choisissiez l'homme et non l'étiquette ?

Et si, pour une fois, vous ne vous préoccupiez plus seulement de l’étiquette, mais d’abord de l’homme qui va vous représenter au Parlement ?

Dimanche 10 juin, vous devez élire votre prochain député. Dans la crise économique que traverse la France et l’Europe, votre choix est particulièrement important.

C’est, en effet, la prochaine Assemblée Nationale qui aura la lourde tâche de proposer et de voter les lois qui doivent nous permettre de réduire notre déficit, d’améliorer l’emploi à tous les niveaux de qualification pour toutes les générations, et de garantir et d’améliorer le pouvoir d’achat dans une justice retrouvée, sans demander toujours l’effort aux mêmes, c’est à dire aux classes moyennes.

Or, ce n’est pas en opposant la gauche et la droite dans un affrontement manichéen et stérile que la France pourra trouver les voies de la réussite. Bloquer le pays par une cohabitation ou donner tous les pouvoirs sans partage à un camp sont les deux côtés d’une même pièce qui ne nous permettra pas de faire émerger les bonnes solutions d’où qu’elles viennent.

Ce que je vous propose, est à l’opposé de ces choix d’étiquette et de camp !

Je vous propose de voter pour créer au Parlement une force centrale et libre, qui sache défendre ses idées et ses principes, notamment en économie, et refuse toute opposition systématique.

Comme élu du centre, je voterai oui quand les projets du gouvernement iront dans le bon sens, et non lorsqu’ils seront dangereux. Nous servirons l’unité du pays dans la crise et nous combattrons les dérives.

Contrairement aux autres candidats principaux, je ne suis pas un homme des « appareils » politiques je ne suis pas sorti d’un Institut d’Etudes Politiques pour rentrer dans un cabinet parlementaire, un ministère ou une administration...

Moi, je vous ressemble, je suis actuellement salarié du public (La Poste) après l’avoir été dans le privé. J’ai aussi eu ma « petite » entreprise et j’ai connu, comme beaucoup, des périodes de chômage.

Cela me permettra de parler à l’Assemblée de la vie quotidienne des familles et des personnes. Je parlerai de vous et de vos attentes. Je n’oublierai pas que trop souvent la politique divise, et que, surtout dans la crise actuelle, il est impératif de rassembler.

Comme vous le savez, je suis Maire adjoint chargé des finances et de la communication d’Andrésy et j’ai aussi été Conseiller municipal de Maurecourt. Vous pouvez me juger sur mes actes, mes prises de position dans les grands dossiers qui impactent notre territoire et décider, en votre âme et conscience, si je suis digne de vous représenter.

En ce qui concerne la ville d’Andrésy, la gestion rigoureuse de nos finances a été saluée par la Trésorerie Principale.

Mais des dossiers importants impactent notre territoire :

• l’A104 et la nouvelle voie départementale,
• l’amélioration des transports en commun,
• les nuisances aériennes,
• aménagement du territoire et Grand Paris,
• dessertes et accès (ponts, passerelle, navettes...),
• l’A104 et projets de voies départementales,
• schéma de Coopération Intercommunale,
• porte du Vexin...

Sur tous ces sujets, je ne me contente pas de faire des promesses, j’ai agi !

En tant que délégué à la Communauté d’Agglomération des 2 Rives de Seine, de Président du Syndicat Intercommunal de Distribution d’Eau du Confluent (Andrésy, Chanteloup, Conflans, Maurecourt et bientôt Triel), de représentant d’Andrésy au Syndicat Paris Métropole, lors du Débat Public sur l’A104 où j’ai imaginé et proposé le tracé « blanc », je défends une vision concertée et constructive de ces projets dans le respect des populations et de l’environnement qu’elles ont choisi pour vivre.

C’est à ce titre que je m’oppose à tout saucissonnage du projet A104 et que j’exige une vision commune voie nationale et voie départementale sur tout notre territoire ainsi qu’une coordination renforcée de tous les projets qui nous concernent.

Pour cette élection, vous avez le choix. Aucun candidat de 2012 n’a été élu sur sa représentativité ou sur son nom en 2007. Il n’y a donc pas de « sortant » !

J’espère vous avoir convaincu que, au-delà des étiquettes partisanes, je saurai, tous, vous représenter efficacement.

Je compte sur vous !

Denis FAIST